Chorégraphes français, Magali Viguier et Didier Mulleras fondent leur compagnie à Béziers en 1988. Ils collaborent depuis de nombreuses années avec Séverine Prunera et Elisabeth Nicol, danseuses, et avec Nicolas Grimal, directeur technique et multimédia.
Ils créent plus de 20 pièces pour la scène jusqu’en 1997, date à laquelle ils entament un parcours créatif à long terme, lié à l'image et au numérique.
En 1998, ils conçoivent le site web www.mulleras.com où l’on peut retrouver leurs œuvres en ligne.
Défrichant les nouveaux espaces de création liés au numérique, l'équipe crée sur Internet : “Mini@tures” de 1998 à 2001, puis “Invisible” de 2002 à 2004, le projet « 96 détails » de 2006 à 2009, et « U.M.O Un Monde Où » de 2010 à 2012... (Cette œuvre "U.M.O..." a été présentée à l'Institut Français LSS de Dakar en partenariat avec GawLab en mai 2010).
Défrichant les nouveaux espaces de création liés au numérique, l'équipe crée sur Internet : “Mini@tures” de 1998 à 2001, puis “Invisible” de 2002 à 2004, le projet « 96 détails » de 2006 à 2009, et « U.M.O Un Monde Où » de 2010 à 2012... (Cette œuvre "U.M.O..." a été présentée à l'Institut Français LSS de Dakar en partenariat avec GawLab en mai 2010).
Ces projets atypiques, vus en ligne et sur scène par des milliers de spectateurs, sont le fruit de leur expérimentation autour des rapports danse-image-multimédia, et répondent à une démarche tant prospective que ludique, dans des réalisations pour tous publics prévues tant pour la scène que pour Internet.
La Compagnie Magali et Didier Mulleras occupe une place atypique dans l'univers chorégraphique français et international, tout comme dans celui de l'art vidéo et numérique, depuis 1998. Ses spectacles et films ont déjà été présentés dans plus de 40 pays (Etats-Unis, Mexique, Brésil, Inde, Portugal, Angleterre, Thaïlande, Italie, Malaisie, Allemagne, Indonésie, Vietnam, Sénégal ...).
Magali et Didier Mulleras offrent une nouvelle danse, affranchie de ses repères habituels, dépassant les styles et les codes établis. Tant dans l'écriture du mouvement que dans ses espaces de représentation, ils se jouent de la multiplicité des cadres de lecture, fragmentant ainsi leurs œuvres, avec un parti pris artistique prépondérant. Leur désir constant d’ouvrir la danse à de nouveaux espaces, à de nouveaux publics, privilégie toujours la mise en visibilité du résultat de leurs expérimentations, au-delà du discours théorique et du processus, au-delà même de leur parole d'auteur et de leur expérience de créateurs transversaux.
